Découvrez comment les professionnels des RH gèrent le recrutement, l’engagement et la rétention des employés, à l’ère de l’IA.
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Les employés sont la ressource la plus précieuse de toute entreprise. Ils en sont le visage, en plus d'être les premiers ambassadeurs de votre marque. Ce sont eux qui détiennent les clés des relations avec les clients et avec le marché dans son ensemble.
Trouver, embaucher et garder les bonnes personnes représente un travail de titan. Il faut être capable de dégager des axes d’amélioration au sein de l’entreprise, tout en suivant inlassablement les tendances extérieures. Identifier les talents, élaborer un programme d’avantages sociaux qui soit solide, comprendre la valeur de la DEI, anticiper l’impact de l’IA : les professionnels des RH sont sur tous les fronts. Ils doivent maîtriser de nombreux aspects qui font la force d’une entreprise.
Les répercussions de la pandémie de COVID et un marché de l’emploi fluctuant et imprévisible leur ont encore compliqué la tâche. Mais alors, comment les équipes RH font-elles face à tous ces changements ?
Nous avons décidé de le leur demander directement, pour comprendre où en sont les RH aujourd’hui. Dans un sondage réalisé en 2023 auprès des professionnels des RH aux États-Unis¹, nous avons découvert des informations clés : les points sur lesquels ils sont optimistes, ce qui les inquiète, et ce qu’ils pensent des développements les plus importants auxquels sont confrontés leurs services. Poursuivez votre lecture pour en savoir plus.
Les équipes RH efficaces jouent un rôle clé dans l'entreprise :
• Rôle des RH
• Principaux indicateurs RH
• Burnout et démissions
Des insights inattendus sur les salaires, le feedback et le recrutement :
• Le rôle crucial du feedback
• Engagement et rétention
• Investissements dans les employés
Les dernières tendances RH :
• La DEI, un défi permanent
• De nouveaux modes de recrutement
• L’IA et les RH
Les équipes RH ont dû faire face à des changements importants, à une main-d’œuvre conflictuelle et émotive, et à des pressions du marché imprévisibles. C’est la raison pour laquelle les entreprises averties recrutent des collaborateurs hautement qualifiés et des responsables des ressources humaines qui ont leur place à la table de direction. Pour ces entreprises, les RH sont la pierre angulaire de l’entreprise, elles prennent part aux décisions et apportent une valeur ajoutée à tous les niveaux.
C’est cependant loin d’être le cas partout. Notre étude a révélé qu’il existe un écart conséquent : toutes les équipes RH ne se sentent pas appréciées de la même manière et n’ont pas toutes l’impression d’avoir un véritable impact. Seuls 53 % des professionnels des RH, soit à peine plus de la moitié, déclarent que les dirigeants de leur entreprise considèrent les RH comme un élément essentiel de la culture de la réussite. Pour le reste d’entre eux, les RH n’ont qu’un rôle purement fonctionnel.
Prenons, par exemple, l’impact des RH sur la culture de l’entreprise. Plus des deux tiers (67 %) des professionnels des RH déclarent que leur service participe activement aux décisions qui impactent l’environnement de travail, alors que 32 % considèrent n’avoir qu’une influence limitée.
En se penchant sur les différences entre les entreprises qui considèrent les ressources humaines comme essentielles et celles où elles sont limitées à un rôle purement fonctionnel, l’écart se creuse considérablement. Dans les premières, 72 % des personnes interrogées déclarent que les RH ont une influence prépondérante sur l’environnement de travail, contre 61 % dans les secondes.
Penchons-nous maintenant sur l’importance accrue des RH depuis la pandémie. Alors que 67 % des professionnels des RH déclarent jouer un rôle plus important dans l’expérience des employés depuis la pandémie de COVID-19, ce chiffre est beaucoup plus élevé dans les entreprises où la direction reconnaît les RH comme étant essentielles : 73 % contre 61 % seulement dans les autres.
De la même manière, près de sept professionnels des RH sur dix (68 %) ont des attentes plus élevées vis-à-vis de la direction depuis la pandémie et ce chiffre atteint 73 % dans les entreprises qui considèrent les RH comme essentielles.
Bien que le rôle des RH ait gagné en importance, de nombreuses entreprises ne semblent pas à la hauteur dans leur accompagnement des employés. Un professionnel des RH sur cinq (19 %) pense que les investissements de son entreprise dans les employés sont insuffisants.
Près d’un quart (24 %) des professionnels des RH dans les entreprises où les RH sont limitées à un rôle purement fonctionnel estiment que ces investissements sont insuffisants, contre 15 % seulement dans les entreprises où le rôle crucial des RH est reconnu.
Qu’est-ce qui est important pour les RH, vous demandez-vous peut-être ? La réponse tient en un mot : tout. Dans notre étude, 5 indicateurs sur 8 ont enregistré des scores très élevés, soulignant la pression que subissent les professionnels des RH. Du recrutement à l’engagement, de la formation à la rétention, les RH doivent s’assurer que toutes les étapes du cycle de vie des employés se passent bien et que les résultats sont au rendez-vous.
Dans notre étude, 46 % des professionnels des RH ont placé la gestion des performances des employés en première place. Ce critère est suivi de près par le recrutement et la rétention (45 %). Cependant, les autres indicateurs ne sont pas en reste. Les personnes interrogées accordent de l’importance à beaucoup d’entre eux.
L’écart entre les services RH considérés comme essentiels et ceux limités à un rôle purement fonctionnel ressort aussi de ces résultats.
Dans les entreprises qui considèrent les RH comme essentielles, deux indicateurs se détachent et s’imposent comme particulièrement importants : le feedback sur la formation et la gestion des performances des employés, tous deux avec un score de 51 %. Par contre, pour les RH limitées à un rôle purement fonctionnel, ces deux domaines enregistrent un score inférieur à la moyenne (30 % et 41 % respectivement).
Ces dernières années n’ont pas été faciles pour les employés, notamment pour les professionnels des RH. La pandémie, l’évolution du marché et les suppressions de postes dans des secteurs clés comme la tech, ont ébranlé les entreprises de toutes tailles.
Cela peut paraître surprenant, mais de nombreux employés sont investis dans leur travail. En mai 2023, dans une étude sur la main-d’œuvre réalisée par CNBC et SurveyMonkey auprès de 8 874 employés américains, 91 % ont déclaré trouver leur travail important et intéressant. En outre, 85 % des employés étaient satisfaits de leur poste et près des trois quarts (73 %) estimaient être bien rémunérés. Ces résultats concordent avec ceux des études précédentes. Ils montrent que malgré le taux d’attrition, les employés se disent satisfaits.
Pourtant, côté RH, les choses semblent bien différentes. Les démissions continuent d’être un problème pour les entreprises, et les équipes RH sont inquiètes. Seul un professionnel des RH sur trois (32 %) déclare que son entreprise gère très bien le problème des démissions et du turnover.
Les motifs de démission sont nombreux. Globalement, la rémunération arrive en première place, avec plus d’un tiers (35 %) des professionnels des RH la citant comme raison du départ des employés.
Cependant, dans les entreprises qui considèrent les RH comme essentielles, c’est le burnout qui est le premier motif de démissions, représentant 36 % des personnes interrogées, contre 22 % dans les entreprises où les RH sont limitées à un rôle purement fonctionnel. Dans ces dernières, le manque de reconnaissance enregistre aussi un score deux fois plus élevé.
La plupart des entreprises sont à l’écoute de leurs employés. Les professionnels des ressources humaines recueillent leur feedback régulièrement, voire souvent. Dans notre étude, 85 % des professionnels des RH déclarent que leur entreprise propose des programmes permettant aux employés de partager leur feedback régulièrement, et que 45 % des équipes RH collectent ce feedback tous les trimestres. Les entreprises qui ne le font que rarement ou jamais sont peu nombreuses (10 %).
Ce feedback ne dort pas au fond d’un tiroir. Le plus souvent, il est utilisé à bon escient. Un tiers (33 %) des professionnels des RH déclarent qu’il influence les décisions concernant l’expérience employé. Dans notre étude, le feedback des employés avait le même poids dans la prise de décision que l’avis de la direction (34 %) et des managers (32 %).
L’engagement des employés (48 %) est la première motivation à la collecte du feedback. Cela est d’autant plus vrai dans les entreprises qui valorisent les RH : 59 % contre 35 % dans les entreprises où les RH sont limitées à un rôle purement fonctionnel.
Mais pour les équipes RH, la collecte de feedback n’est pas toujours simple. Si la majorité (59 %) des professionnels des RH estiment qu’ils reçoivent suffisamment de feedback, plus d’un quart (29 %) pensent le contraire.
Cela est dû à diverses raisons. Un engagement insuffisant, le cloisonnement des données et le manque d’insights sont les principaux défis auxquels sont confrontées les RH.
Les professionnels des RH insistent sur l’importance d’un feedback franc et honnête. Selon notre étude, 72 % d’entre eux doutent de l’authenticité du feedback des employés sur leurs expériences professionnelles. Cela est particulièrement vrai dans les entreprises qui ne valorisent par les RH : 80 % des professionnels des RH qui y travaillent s’inquiètent de l’honnêteté des commentaires, contre 64 % seulement dans les entreprises où les RH jouent un rôle essentiel.
Bien sûr, la rémunération et les avantages sociaux joueront toujours un rôle important pour attirer et retenir les meilleurs talents.
Mais les investissements ne doivent pas se limiter à ces domaines. Selon notre étude, la formation des employés devance la rémunération pour les professionnels des RH dans toutes les entreprises.
Plus de la moitié (55 %) des professionnels des RH estiment que la formation est le domaine d’investissement le plus important pour l’expérience des employés. Viennent ensuite la rémunération avec 54 % et l’équilibre vie professionnelle/vie privée avec 51 %.
Dans les entreprises qui les considèrent comme essentiels, les professionnels des RH pensent qu’il faudrait privilégier les investissements dans l’équilibre entre vie professionnelle et vie privée : 56 % d’entre eux placent cet équilibre en première place, devant la formation (55 %) et la rémunération (53 %).
Une étude sur la main-d’œuvre réalisée par CNBC et SurveyMonkey a révélé que les employés sont partagés sur la question des horaires flexibles. Plus de cinq ans après la pandémie de COVID qui avait sonné l’avènement du télétravail, 56 % pensent que les employés qui travaillent en présentiel bénéficient de meilleures opportunités professionnelles, une hausse de près de 10 points par rapport à octobre 2021.
Près de la moitié (49 %) des professionnels des RH déclarent que le fait de pouvoir proposer un travail à distance ou hybride a un impact conséquent sur la capacité de leur entreprise à embaucher.
Ce chiffre est encore plus élevé dans les entreprises où les RH jouent un rôle essentiel : dans ce cas, c’est 58 % des professionnels des RH qui estiment que le travail hybride ou à distance affecte le recrutement, contre 44 % dans les entreprises qui considèrent les RH comme purement fonctionnelles.
Ces chiffres sont importants pour les équipes RH qui s’efforcent de retenir les employés, mais aussi pour les recruteurs. En effet, la promesse d’un salaire élevé, qui influence souvent les décisions des candidats, ne suffit plus aujourd’hui.
Si la plupart des chefs d’entreprise comprennent désormais l’importance de la DEI (diversité, équité et inclusion), les RH avaient une longueur d’avance.
Dans de nombreuses entreprises, les équipes RH intègrent déjà les bonnes pratiques DEI à toutes les étapes du cycle de vie des employés, du recrutement à la rémunération et à la rétention. Et à raison ! La DEI est un enjeu complexe, qui n’est pas prêt de disparaître.
Voici quelques statistiques tirées de nos dernières études :
Ces statistiques dressent un tableau plutôt sombre pour les équipes RH. Même si l’équité existe, de nombreux employés issus de minorités ont un sentiment d’injustice. Cependant, notre étude laisse aussi apparaître de bonnes nouvelles.
Pour les professionnels des ressources humaines, il est essentiel de recruter les meilleurs talents. Et la DEI les y aide. Plus que jamais, les entreprises doivent se doter d’une main-d’œuvre diversifiée et embaucher des personnes issues d’horizons différents (compétences, genre, origine ethnique, identité, âge).
Près de la moitié (48 %) des professionnels des RH pensent que la DEI joue un rôle crucial dans le recrutement des meilleurs candidats. Ce chiffre est encore plus élevé dans les entreprises qui considèrent les RH comme essentielles, avec 55 % des professionnels des RH estimant que la DEI a eu un impact important dans ce domaine.
La fréquence de la collecte du feedback des employés sur la DEI varie d’une entreprise à l’autre, et d’une équipe RH à l’autre. Pour certaines, il s’agit d’une bonne pratique régulière, pour d’autres, cette approche est moins systématique. En outre, la place qu’occupent les RH au sein de l’entreprise a un impact conséquent.
Un professionnel des RH sur cinq (20 %) pense que son entreprise n’accorde pas assez d’importance au feedback des employés sur la DEI. Parmi ces professionnels, les femmes sont beaucoup plus nombreuses que les hommes à dire que leur entreprise n’en fait pas assez dans ce domaine (24 % contre 17 % pour les hommes). Et plus d’hommes travaillant dans les RH déclarent que leur entreprise en fait trop en matière de DEI (28 % contre 15 % pour les femmes).
Environ un quart (26 %) des professionnels des RH déclarent que leur entreprise demande toujours l’avis des employés pour déterminer les priorités en matière de DEI. Ils sont à peu près autant (23 %) à dire que leur entreprise ne le fait que rarement ou jamais. Dans les entreprises où les RH jouent un rôle prépondérant, ils sont plus d’un tiers (34 %) à indiquer que leur entreprise le fait toujours.
L’un des chiffres les plus intéressants pourrait indiquer que c’est la gestion des données qui pose problème, plutôt qu’un biais en faveur ou contre la DEI. Seuls 66 % des entreprises qui déclarent que leurs données sont cloisonnées ou dispersées recueillent des insights sur la DEI, contre 81 % pour les entreprises où le feedback des employés est intégré à une vision globale de l’expérience des employés.
De nombreux employés ont peur de l’IA et craignent que leur travail devienne obsolète, perde de son importance ou disparaisse. L’étude sur la main-d’œuvre réalisée par CNBC et SurveyMonkey révèle que :
L’utilisation de l’IA dans le cadre du recrutement, de l’évaluation des performances et des tâches RH plus sensibles faisant couler beaucoup d’encre, nous souhaitions savoir ce qu’en pensaient réellement les professionnels des RH.
Nous avons découvert que la majorité d’entre eux ont déjà adopté l’IA et qu’ils sont nombreux à la considérer comme un outil important dans le cadre de leur travail.
Six professionnels des RH sur dix (62 %) ont utilisé l’IA au moins une fois par semaine au cours des trois derniers mois. La moitié d’entre eux (53 %) déclarent que l’IA a gagné en importance dans leur stratégie RH par rapport à l’année précédente.
Où l’IA aura-t-elle le plus d’impact ? La réponse semble être « partout ». Visiblement, l’IA aura un impact semblable sur tous les aspects des RH, aucun ne se détachant vraiment.
Seuls deux professionnels des RH sur dix (19 %) déclarent que l’IA les remplace pour beaucoup de choses. En fait, la grande majorité (59 %) déclare qu’elle les aide plutôt à mieux faire leur travail.
En matière d’IA, ce sont les améliorations de la productivité qui intéressent le plus les professionnels des RH : près de quatre sur dix pensent qu’elle les aidera à se concentrer sur les tâches plus complexes (38 %), et 35 % qu’elle leur permettra d’automatiser les tâches répétitives.
Par ailleurs, les professionnels des RH espèrent que non seulement l’IA facilitera leur travail, mais les aidera aussi à progresser en leur donnant accès à davantage d’insights. Plus d’un tiers d’entre eux (36 %) espèrent notamment que l’IA leur fournira une compréhension des performances des employés basée sur les données.
Malgré cet engouement, les professionnels des RH se disent inquiets de l’impact de l’IA sur leur travail, en premier lieu parce qu’ils redoutent de ne pas avoir les connaissances nécessaires pour l’utiliser efficacement et en tirer le meilleur parti.
Plus d’un tiers d’entre eux (37 %) déclarent que ce manque de connaissances est le plus gros défi pour eux quant à l’utilisation de cette technologie, et 24 % craignent de ne pas disposer d’assez de données pour alimenter l’IA. En outre, au niveau personnel, 28 % des professionnels des RH craignent que l’IA menace la sécurité de leur emploi.
En revanche, la partialité dans les processus de recrutement et d’embauche ne les préoccupe pas vraiment. Ils ne sont qu’un sur quatre (25 %) à penser que les biais introduits par l’IA sont un gros problème. La plupart d’entre eux pensent que c’est un problème mineur (45 %) ou pas un problème du tout (31 %).
Il y a beaucoup à apprendre sur la manière dont les RH peuvent aider les entreprises à développer la main-d’œuvre du futur. Mais une chose est sûre : le feedback des employés est un élément clé de la réussite. Les entreprises qui valorisent les RH sont, semble-t-il, plus susceptibles de faire la part belle aux performances et à la formation des employés. Elles récoltent les fruits de leurs efforts avec une rétention accrue et un turnover réduit.
Le meilleur point de départ pour les RH ? Questionner, écouter, et puis agir.
Vous devez comprendre vos employés et ce qui est important pour eux à chaque étape de leur parcours. Recrutement, onboarding, engagement, entretiens individuels, départ : il y a toujours une bonne raison de collecter du feedback pour étayer les décisions futures portant sur les programmes RH ou les avantages des salariés.
Recueillez continuellement le feedback des employés pour comprendre leurs besoins, et utilisez-le pour optimiser les processus de l’entreprise. Améliorez l’efficacité de vos ateliers de formation en collectant du feedback exploitable avant, pendant et après chaque session. Échangez avec les employés régulièrement. Vous aurez un point de référence pour faire des comparaisons.
Passez à l’action et optimisez les performances de vos employés en vous appuyant sur leur feedback. En comprenant les performances globales, vous pourrez accroître l’efficacité des responsables, combler les lacunes en matière de formation et donner à vos employés les moyens de réussir dans leur travail. Obtenez une vue à 360 degrés de chaque étape de leur expérience.
Méthodologie : étude SurveyMonkey réalisée aux États-Unis auprès de 269 professionnels des RH, du 25 août au 5 septembre 2023. Les participants ont été sélectionnés dans un panel non aléatoire en ligne.¹
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