la « signature simple », par exemple pour un bon de commande, ou acte de gestion, une transmission vers un institutionnel, ou un partenaire.
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la « signature avancée » : on parle alors de RGS2*, qui peut prendre des formes suivantes comme le cachet d’horodatage qualifié, le certificat européen de signature, l’archivage des traces, etc. Il concerne des actes engageants de type financier ou contractuel.
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la « signature avancée avec certificat qualifié ». Elle prend la forme d’une carte à puce, d’un certificat qualifié, et concerne notamment les marchés publics, les flux PESV2, les pièces justificatives.
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la « signature qualifiée » qui intègre une authentification forte avec un certificat RGS3*, et concerne les actes notariés, le cadastre.
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