Ligne verte : enquête auprès des chargeurs
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QUESTIONNAIRE AUX ENTREPRISES IMPORTATRICES DE CONTENEURS
La Ligne verte, de quoi parle-t-on ?
En 2017, le transport routier de marchandises a généré en France 25,5 millions de tonnes de CO2, soit l’équivalent de la consommation annuelle d’une ville de 2 millions d’habitants. Le mode de transport routier demeure extrêmement majoritaire et représente 88% des volumes transportés, contre respectivement 10% pour le mode ferroviaire et 2% pour le mode fluvial.
Cette sous-utilisation des services alternatifs à la route, qu’ils soient fluviaux ou ferroviaires, se constate notamment sur l’axe Rhône, axe structurant de l’approvisionnement en biens importés de la moitié sud de la France.
C’est pourquoi le Pôle d’Intelligence Logistique, soutenu par l’ADEME, le Plan Rhône et l’Union européenne, lance la Ligne verte.
Cette démarche vise à comprendre les raisons de ces choix et de créer les conditions de l’évolution de ces politiques d’achat de transport, en se concentrant plus spécifiquement sur le post-acheminement des containers maritimes entre le Grand Port maritime de Marseille et la région logistique de Lyon, dont les volumes sont en croissance.
Démarche collaborative d’accompagnement du changement s’étalant sur une période de 3 ans entre 2020 et 2023, la Ligne verte mobilise l’ensemble des maillons de la filière du transport et de la logistique dans une démarche collective d’optimisation logistique et de réduction de l’impact environnemental de leurs activités.
Le questionnaire :
Dans un premier temps, une étude de flux est menée en collaboration avec Interface transport, afin de mieux connaître les flux concernés. L’étude est composée d’entretiens qualitatifs, d’analyse de données statistiques, et du présent questionnaire.
Le questionnaire, d’une durée de 15 minutes environ, s’adresse aux industriels, distributeurs et prestataires logistiques de la région lyonnaise qui réceptionnent sur leurs plateformes des containers maritimes, quels qu’en soient la provenance et le mode d’acheminement. Les données collectées nous serviront à établir un diagnostic quantitatif et des chiffres clés, dessinant la situation de départ de la démarche. Les données sont confidentielles et destinées à un traitement statistique.
En 2017, le transport routier de marchandises a généré en France 25,5 millions de tonnes de CO2, soit l’équivalent de la consommation annuelle d’une ville de 2 millions d’habitants. Le mode de transport routier demeure extrêmement majoritaire et représente 88% des volumes transportés, contre respectivement 10% pour le mode ferroviaire et 2% pour le mode fluvial.
Cette sous-utilisation des services alternatifs à la route, qu’ils soient fluviaux ou ferroviaires, se constate notamment sur l’axe Rhône, axe structurant de l’approvisionnement en biens importés de la moitié sud de la France.
C’est pourquoi le Pôle d’Intelligence Logistique, soutenu par l’ADEME, le Plan Rhône et l’Union européenne, lance la Ligne verte.
Cette démarche vise à comprendre les raisons de ces choix et de créer les conditions de l’évolution de ces politiques d’achat de transport, en se concentrant plus spécifiquement sur le post-acheminement des containers maritimes entre le Grand Port maritime de Marseille et la région logistique de Lyon, dont les volumes sont en croissance.
Démarche collaborative d’accompagnement du changement s’étalant sur une période de 3 ans entre 2020 et 2023, la Ligne verte mobilise l’ensemble des maillons de la filière du transport et de la logistique dans une démarche collective d’optimisation logistique et de réduction de l’impact environnemental de leurs activités.
Le questionnaire :
Dans un premier temps, une étude de flux est menée en collaboration avec Interface transport, afin de mieux connaître les flux concernés. L’étude est composée d’entretiens qualitatifs, d’analyse de données statistiques, et du présent questionnaire.
Le questionnaire, d’une durée de 15 minutes environ, s’adresse aux industriels, distributeurs et prestataires logistiques de la région lyonnaise qui réceptionnent sur leurs plateformes des containers maritimes, quels qu’en soient la provenance et le mode d’acheminement. Les données collectées nous serviront à établir un diagnostic quantitatif et des chiffres clés, dessinant la situation de départ de la démarche. Les données sont confidentielles et destinées à un traitement statistique.